Depuis 1985, Dave Specter joue régulièrement sur les meilleures scènes de Chicago et des Etats-Unis, ainsi qu’au Brésil, en Israël et dans toute l’Europe. Son premier album ‘Bluebird Blues’ sorti en 1991 sur le prestigieux label Delmark, a été acclamé par la critique et a atteint la première place dans le classement radio national de Living Blues et Tower Records. Depuis, Dave a enregistré une vingtaine d’albums sur Delmark. Ce soir, il reçoit le guitariste-harmonisiste Harmonica Hinds.

Harmonica Hinds est né sur l'île de la Trinité. Il vit cependant à Chicago depuis 1973 où il a été pris sous l'aile protectrice de James Cotton en personne. Il se produit régulièrement dans tous les grands clubs de la Cité des Vents (NDR : notamment le Theresa's Lounge et le Buddy Guy's Legends). Il a enregistré en compagnie de Koko Taylor et compte un album personnel à son actif : "Finally". Il présente ici deux de ses compositions. Tout d’abord le saignant "Kill that mouse". Le rythme est débridé, à l’instar d’un Jimmy Reed en version accélérée. Tant les parties vocales qu’instrumentales sont excellentes. Ensuite "Sunday morning blues". Un instrumental de très belle facture.

Harmonica Hinds : guitare, harmonica

Dave Specter : guitare

Brother John Kattke : clavier

Harlan Terson : basse

Greg Wyser-Pratte : batterie

Inspiré par la musique de grands artistes tels que Buddy Guy, Albert King , BB King, Albert Collins, Jimi Hendrix et bien d'autres, K-led Bâ’sam commence à jouer dès  l’âge de 15 ans. Il donne ses premiers concerts en acoustique, suivent des concerts de blues et de rock avec diverses formations, dans des clubs et des bars parisiens. Jusqu'en 2006, il fut sans doute le secret le mieux gardé de la scène blues parisienne, remplissant des clubs comme l'Art Puces Café, l'Espace B et le One Way tout en restant méconnu en dehors de Paris. Depuis, il rafle les récompenses : tremplin du festival de Nyon en 2006, tremplin blues sur seine en 2007…

K-led Bâ'sam : guitare, chant

François Faure : clavier

Philippe Devin : basse

Abraham Cohen : batterie